Ce vendredi 7 juin 2019, le projet asphaltage a connu la visite de la délégation ministérielle, des autorités municipales de la ville de Cotonou.
De Saint-Michel à Zongo, en passant par Ayélawèdjè, Gbégamey, Agontinkon, Haie-vive, Fidjrossè et Agla, la délégation ministérielle a constaté les problèmes et difficultés auxquelles font face les entreprises.
Première escale de ce long périple vendredi, la rue du « Restaurant maman-Bénin » : après quelques échanges et vérifications, le ministre du Cadre de vie et du développement Durable, très exigeant, a fait des recommandations pour corriger le tir. Après, cap a été mis sur les rues « Chagas », rue de l’Ign et plusieurs autres de Cotonou. Globalement, il est a noté un retard de plusieurs mois sur l’exécution des travaux (5 mois) sur la plupart des chantiers. Ce qui n’a pas plus aux yeux du ministre. Pour ce faire, il l’a signalé aux entreprises respectives : Synohydro, Hnrb et Sogea-Satom. Faisant le point à mi-parcours, José TONATO, n’a pas caché ses impressions : « Je ne suis pas totalement satisfait sur plusieurs plans, et sur certains lots, à cause des retards, des malfaçons, du non-respect des normes de sécurité, et par rapport à la pénibilité de la vie des populations riveraines. Tout cela fait partie des problèmes que nous réglons. Mais je suis satisfait de l’avancement global du projet. Sur les quatre lots que nous avons à Cotonou, nous avons 2 lots exemplaires : le lot 6A au quartier les Cocotiers et à la Haie-vive confié Sogea-Satom, et le lot 3A confié à l’entreprise Synohydro. Ces deux nous donnent satisfaction ». Pour la mission de contrôle, tout se passe dans les règles de l’art, à part quelques désagréments. « Tout ce qui se passe suit les normes en la matière, et en tant que mission de contrôle, je peux vous dire que les travaux respectent les règles de l’art. Première escale de ce long périple vendredi, la rue du « Restaurant maman-Bénin » : après quelques échanges et vérifications, le ministre du Cadre de vie et du Développement Durable, très exigeant, a fait des recommandations pour corriger le tir. Après, cap a été mis sur les rues « Chagas », rue de l’Ign et plusieurs autres de Cotonou. Globalement, il est a noté un retard de plusieurs mois sur l’exécution des travaux (5 mois) sur la plupart des chantiers. Ce qui n’a pas plus aux yeux du ministre. Pour ce faire, il l’a signalé aux entreprises respectives : Synohydro, Hnrb et Sogea-Satom. Faisant le point à mi-parcours, José TONATO, n’a pas caché ses impressions : « Je ne suis pas totalement satisfait sur plusieurs plans, et sur certains lots, à cause des retards, des malfaçons, du non-respect des normes de sécurité, et par rapport à la pénibilité de la vie des populations riveraines. Tout cela fait partie des problèmes que nous réglons. Mais je suis satisfait de l’avancement global du projet. Sur les quatre lots que nous avons à Cotonou, nous avons 2 lots exemplaires : le lot 6A au quartier les Cocotiers et à la Haie-vive confié Sogea-Satom, et le lot 3A confié à l’entreprise Synohydro. Ces deux nous donnent satisfaction ». Pour la mission de contrôle, tout se passe dans les règles de l’art, à part quelques désagréments. « Tout ce qui se passe suit les normes en la matière, et en tant que mission de contrôle, je peux vous dire que les travaux respectent les règles de l’art.
Il faut noter que globalement au niveau des deux lots (6A et 3A), les travaux en cours se rapportent à l’assainissement, au terrassement et aux travaux de la chaussée. Par exemple, une bonne partie du quartier les Cocotiers a déjà reçu le grave non traité en fondation ; les caniveaux sont presque partout sur cette zone. Sur la zone 3A aussi, les zones à paver, ont été déjà pavées », a déclaré Paulin Goulomè, ingénieur et chef de mission en charge des lots 6A et 3A. Pour sa part, Olga Dagnon, a dénoncé les voies de fait, les manquements dont certaines entreprises font preuves.
Direction de la Promotion de l’Ecocitoyenneté
