C’est la salle de conférence de l’hôtel du Lac sis à Akpakpa qui a accueilli ce jour, mardi 22 septembre 2020, cette activité présidée par le Directeur Général de l’Environnement et du Climat (DGEC), le Professeur Martin Pépin AINA. Plusieurs acteurs ont participé à cette session bilan. Il s’agit entre autres de certains cadres des ministères sectoriels et les Partenaires Techniques et Financiers (PTF).
Rappelons que cette session 2020 est organisée avec l’appui du Projet Protection et Réhabilitation des Sols (ProSol) mis en œuvre par la GIZ, pour faire le bilan du 1er semestre 2020 et entamer la planification des activités de 2021.
Pour le point focal, Maurille ELEGBEDE, la population augmente au jour le jour et les problèmes persistent ; alors il faut réduire la dégradation des terres et réduire l’impact de la sécheresse sur le territoire conformément aux objectifs du développement. Le chargé du Projet ProSol Cotonou et Parakou, Dr Tobias GODAU a réaffirmé le soutien du ProSol au MCVDD. Pour lui en effet, le Bénin est sur le bon chemin.
Le représentant du Ministre, le Professeur Martin Pépin AINA, a dans son allocution d’ouverture, rappelé que la 26ème édition de la journée mondiale commémorée sous le thème « Aliments, forage et fibres», vient montrer clairement que la dégradation des terres est une crise à l’échelle mondiale qu’il faut éradiquer. A cet effet le Représentant du Ministre a réaffirmé son attachement à cette première session devant servir de cadre de concertation et de travail pour une amélioration dans l’atteinte des Objectifs du Développement Durable qui prône la rentabilité en matière de dégradation des terres. Le comité dira-t-il, devra donc agir pour renverser la tendance, car le ProSol est un exemple dans la lutte pour la restauration des terres.
Direction de la Promotion de l’Ecocitoyenneté